dimanche 17 novembre 2019

"Fragile"


Ma participation à l'exposition " Fragile"

"A son doigt, l'éclat d'une pierre..." Photographie numérique 30 x 45 sur dibond et verre acrylique
" Mort-née ou Oxymore" Photographie numérique 35 x 45 sur dibond et verre acrylique
" Darker" Photographie numérique 20 x 40 sur papier hahnemühle





"Plus belle la mort "

Ma participation à l'exposition "Plus belle la mort "

"Mourir en un nid douillet " photographie numérique 60 x 80 cm sur dibond et verre acrylique
"Mort-née " ou "Oxymore"  photographie numérique 35 x 35 cm sur dibond et verre acrylique
" Petite mort "  photographie numérique 35 x 35 cm sur dibond et verre acrylique

Triptyque: aquarelles sur papier 10 x 40 cm
"Asclépios" 2 -  "Latone et les paysans de Lycie"  - "Stellion"

" Les fruits de mes entrailles sont punis "   Ex-voto en métal punaisé sur papier, texte au crayon 25 x 25 cm





vendredi 23 août 2019

"Moule-cocotte"

Aquarelle sur papier 30 cm x30 cm : moule à sorbet et cône d'épicéa, le 22 août 2019


vendredi 9 août 2019

"Minthé"

"Minthé" aquarelle sur papier 20 cmm x 40 cm : feuille de menthe, le 9 août 2019




« Menthe », nom commun, provient du nom (propre) de Minthé (Mentha ouMenta, en latin), une naïade grecque (nymphe des sources et cours d’eau). Celle-ci était la maîtresse du dieu des Enfers, Hadès (Pluton, en latin). Elle se serait vantée d’être supérieure à Perséphone (Proserpine, en latin), l’épouse légitime du dieu. Ou bien, la déesse aurait simplement été jalouse d’elle. Ou encore, délaissée par Hadès, Minthé aurait voulu le reconquérir. Quelle qu’en soit la raison, cet acte d’hybris ou « démesure » (vouloir égaler les dieux lorsqu’on est inférieur — notion fort importante dans la Tragédie grecque antique) a causé sa mort.
Selon le Dictionnaire des Superstitions (coll. Bouquins, p. 1108-1110), elle fut tuée par Perséphone. Hadès lui accorda de devenir une plante odorante mais ordinaire, la menthe. Dans une autre version, Déméter, mère de Perséphone, la condamna à ne plus porter de fruits, d’où la double réputation de la menthe, qui est à la fois de caractère funéraire, considérée comme un « tue-l’amour » entraînant la stérilité, et en même temps associée à la sexualité.
On ne s’étonnera donc pas qu’Aphrodite (Vénus), déesse de l’amour, soit associée à la métamorphose de Minthé en menthe. ( Catherine Aguillon )






dimanche 28 juillet 2019

"Asclépios"

Aquarelle sur papier 20 cm x 40 cm : couleuvre d'esculape juvénile, le 28 juillet 2019



"Asclépios"
"Asclépios (Ασκληπιος) ou Esculape chez les Romains, était le dieu de la médecine dont les attributs étaient le serpent, le coq, le bâton, la coupe.
Suivant la légende la plus répandue, il était fils d'Apollon et de Coronis qui était la fille de Phlégias roi des Lapithes. Coronis était déjà enceinte d'Apollon quand elle prit pour nouvel amant un arcadien du nom d'Ischys. 
Apollon fut averti de son infortune grâce à son don de divination ou bien par l'indiscrétion d'une corneille qui était blanche à cette époque. La pauvre corneille fut maudite et depuis ce jour là son plumage devint noir.
Apollon conta sa mésaventure à sa sœur Artémis qui cribla de flèches l'infidèle Coronis ou bien c'est lui même qui tua Coronis et Ischys. Le corps était déjà sur le bûcher funéraire lorsqu'Apollon réalisa que son amante était enceinte et arracha son fils du ventre de sa mère et des flammes.
Dans une autre version Coronis accoucha normalement alors qu'elle visitait Epidaure en compagnie de son frère.
On raconte aussi qu'il était le fils d'Arsinoé la fille de Leucippos.
Le petit Asclépios fut recueilli par un berger qui le nourrit du lait de ses chèvres et plus tard Apollon confia son fils au Centaure Chiron qui lui apprit l'art de la médecine. Athéna lui donna deux fioles contenant du sang de Méduse. L'une permettait de tuer et l'autre de ressusciter les morts. Asclépios s'en servit à plusieurs reprises (Lycurgue, Capanée, Tyndare, Hippolyte...) mais Hadès se plaignit à Zeus que l'ordre du monde risquait d'en être changé et ce dernier foudroya Asclépios. Cet acte mit Apollon en colère et il alla tuer les Cyclopes qui avaient simplement forgé la Foudre. Et pour finir Zeus envoya Apollon comme esclave chez Admète. Toutefois Zeus rappela Asclépios à la vie sous la forme d'un serpent, réalisant ainsi la prophétie de la fille de Chiron qui avait prédit qu'Asclépios deviendrait un dieu.
Asclépios fut considéré comme un dieu des plus populaires. Il épousa Epioné, la fille du roi de Cos dont il eut quatre filles et deux fils qui l'aidèrent dans son entreprise."
mythologica.fr

jeudi 25 juillet 2019

"Néa"

"Néa"

aquarelle sur papier 40 cm x 20 cm d'une feuille de châtaignier, le 20 /07/2019
"Le châtaignier est la dépouille de la nymphe Néa, compagne de Diane, qui préféra se tuer plutôt que de céder aux avances de Jupiter. Ivre de colère, le dieu la métamorphosa en un Casta Nea (la chaste Néa), châtaignier dont les fruits garnis de piquants symbolisent cette aventure."


samedi 4 mai 2019

"Farceur rêvant sa vie plus belle ou le bonheur ne tient qu'à un fil"

Boîte vitrine 20 x 31 cm, hologramme d'un chimpanzé, pendentif singe amulette thaï érotique.
Vitre avec décor de forêt tropicale ( tableau " Les trois farceurs" du Douanier Rousseau )
Décor de grille de cage, tige de métal, fil de nylon, perle de verre violette taillée.
Plaque signalétique  10 x 4,8 cm, le 29/04/2019




"Les couleurs de mes rêves"

Linogravures aquarellées aux couleurs de l'arc-en-ciel, sur papier  18 x 24 cm, le 1er mai 2019

"Jeu addictif "

Capsule de pavot et graines peintes, lavis d'encre de Chine 20 x 80 cm, le 8/04/2019




mardi 16 avril 2019

"Hantises"

"Hantises" : 10 ex-votos en métal argenté, textes au crayon, cadres 27x 27 cm
présentés lors de l'exposition collective "Cauchemar", à la Galerie Neuf, du 14 au 27 mars 2019





(photo Amandine Gollé)

mercredi 23 janvier 2019

"Héliades"



" Héliades"2, aquarelle 20 x 40 cm d'un rameau d'aulne, le 16/01/2019

"Dans la mythologie grecque, les Héliades, filles d'Hélios et de Clymène, sont les sœurs de Phaéton. À la mort de celui-ci, elles se montrèrent inconsolables, le pleurant sans cesse, de sorte que leurs larmes se solidifièrent en ambre et qu'elles-mêmes se changèrent en peupliers ou en aulnes."


dimanche 13 janvier 2019

"Séminaris"

Aquarelle 20 cm x 40 cm, le 9/01/2019


Séminaris
« Elle est la fille de Dercéto, une déesse mi-femme mi-poisson qui vivait dans un lac voisin d'Ascalon, et de Caÿstros, le fils présumé d'Achille et de Penthésilée. Cette union est provoquée par Aphrodite qui avait à se plaindre de Dercéto. Après la naissance de Sémiramis, Dercéto assassine Caÿstros et se réfugie au fond de son lac en abandonnant sa fille. Elle est alors élevée par des colombes qui volent aux agriculteurs et aux bergers de la région le lait et le fromage indispensables à sa nourriture. Découverte par les bergers intrigués par ce manège, elle est confiée à leur chef qui lui donne le nom de Sémiramis (qui vient des colombes en langue Assyrienne).
Devenue jeune femme, elle est épousée par Onnès, un conseiller du roi Ninos de Ninive, dont elle a deux fils, Hyapaté et Hydaspé. Elle conseille son mari de façon si habile qu'il réussit dans la totalité de ses entreprises. Lors d'une expédition en Bactriane, Onnès commet l'erreur d'emmener sa femme qui, prenant la tête d'un groupe de soldats montagnards, s'empare de la citadelle de Bactres et de leurs trésors. Ninos tombe amoureux de Sémiramis et contraint Onnès au suicide. Le roi épouse alors la belle sans difficulté. Elle lui donne un fils Ninyas. Peu de temps après, Ninos meurt et Sémiramis lui succède pour un règne de 42 ans. À la mort de son mari, elle lui fait ériger un tombeau d'une hauteur de 1 620 mètres1.
Elle est, selon la légende, la fondatrice d'une nouvelle cité qui frappe par son ampleur et ses dimensions : Babylone. Elle y crée, dans le palais d'occident, les fameux jardins suspendus. Elle détourne l'Euphrate et entoure la future cité de 70 km de remparts. Elle conçoit un réseau de palais qui lui permet de se rendre de l'un à l'autre sans franchir le fleuve1. Reine guerrière, en cela elle tient de son grand-père paternel, elle s'empare dit-on de l'Arménie (après avoir vainement tenté de séduire Ara le Beau, selon les traditions arméniennes), la Médie, toute l'Asie jusqu'à l'Indus, où elle est battue, et de l'Égypte et l'Éthiopie. Elle était à la tête d'une armée de trois millions de fantassins et de 500 000 cavaliers1. Elle consulte l'oracle d'Ammon qui lui affirme qu'elle serait enlevée du nombre des vivants quand son fils Ninyas conspirerait contre elle. De retour après son expédition en Inde, elle apprend que son fils conspire avec les eunuques du palais. Fatiguée, elle lui remet alors le pouvoir et disparaît. La légende prétend qu'elle est transformée en colombe et emportée au ciel afin d'y être divinisée. »